Dans les années 1970 et 1980, la formule de la croissance consistait à investir dans le développement industriel et dans l’éducation. Le premier avait besoin d’une ouverture des marchés financiers. Le second, dans les pays en développement, pouvait être financé par l’aide internationale. Quatre décennies plus tard, après la globalisation de la finance et les milliards dépensés, les pays les plus pauvres le sont toujours autant. Quelle analyse faire des institutions internationales ? Comment affectent-elles la croissance ?
Cecilia Garcia-Penalosa, Directeur de Recherche au CNRS, GREQUAM (Groupement de Recherche en Economie Quantitative d’Aix-Marseille), Marseille
A 18h30
Auditorium de la Bibliothèque départementales Gaston Defferre
8-20 rue Mirès
13003 Marseille
Téléphone : 04 13 31 82 08
Réservation conseillée